Quel est le problème principal ?

À l’approche de la retraite, le périmètre se réduit après une restructuration.
L’objectif est d’obtenir un départ négocié sans attendre une GPEC incertaine.

Quel est le contexte du cas ?

• Entreprise : Société X, Groupe Y, Distributeur Z.

• Profil : 60 ans ; 14 ans d’ancienneté ; directeur d’usine (transformation de viandes).

• Historique : résultats économiques et sociaux constamment bons.

• Virage : plan de restructuration il y a 12 mois ; perte de chiffre d’affaires non compensée ; site non rentable ; périmètre réduit.

• Signal : le N+1 s’enquiert des intentions à ~2 ans des droits à la retraite ; rendez-vous fin novembre.

• Objectif : négocier un départ au mieux de ses intérêts, sans dévoiler prématurément sa stratégie.

Quelle a été la mission de NegoAndCo ?

Construire une stratégie de négociation pour obtenir une rupture amiable — souvent appelée démission conventionnelle —, alors que l’employeur pourrait attendre la retraite via la GPEC.

Indicateurs clés de réussite

• Indemnité négociée : 520 000 €

• Protection : Santé psychologique & image préservées

• Rebond : Accompagnement et réemployabilité

Quels résultats ont été obtenus ?

• Financier : indemnité de 520 000 €

• Psychologique : fin de négociation en pleine forme

• Image : réputation préservée sur le marché

Quelles leçons retenir ?

Bien structurée, la négociation RH proche de la retraite
permet de sécuriser le financier, la santé et la réputation tout en évitant l’attentisme.

Conclusion : anticiper la retraite sans perdre en sécurité

Une stratégie de départ négocié menée à temps transforme une fin de carrière contrainte en transition maîtrisée.

Pour aller plus loin

Voir aussi : négociation de départ, rupture amiable, réemployabilité

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