La salariée subit une pression malsaine d’un subordonné déterminé à prendre son poste, provoquant un burn-out et un arrêt maladie. Elle envisage une négociation de départ pour se protéger et préparer son rebond professionnel.

• Poste : responsable d’un centre d’appel à Rennes depuis 7 ans.
• Organisation : promotions automatiques des cadres (dont le N-1) en janvier 2012.
• Insuffisance du N-1 : problèmes de management remontés par les équipes et les délégués ; surcharge de travail pour compenser.
• Réaction : attentisme RH et du N+1 ; remplacement temporaire par un manager de transition.
• Échéance : rendez-vous avec le N+1 le 30 juillet pour clarifier l’avenir.
• Objectif : négocier un départ dans les meilleures conditions.

Définir une stratégie de négociation pour obtenir une rupture amiable (souvent appelée démission conventionnelle) malgré une demande de départ initiée par la salariée, et préserver sa réputation et sa santé.

• Rupture : obtention de la rupture par l’entreprise puis négociation de ses conditions.
• Financier : indemnité de 220 000 €.
• Accompagnement : budget formation de 40 000 € pour financer un MBA.
• Réputation & santé : relations apaisées, image professionnelle et santé préservées.

Quand la demande de départ vient du salarié, la priorité est d’obtenir la rupture, puis de négocier au mieux ses paramètres (financier, accompagnement, communication, réputation, santé) pour enclencher un rebond professionnel durable.