Un licenciement violent est déclenché contre un DG nouvellement recruté, après une cabale interne nourrie par des propos mal interprétés et une alliance de directeurs régionaux.

• Fonction : Directeur Général bâtiment (leader de marché), 48 ans, recruté il y a ~4 ans.
• Performance : résultats bons et bonus versés.
• Déclencheur : propos mal interprétés lors d’une réunion, menant à une alliance de directeurs régionaux.
• Escalade : annonce d’une rupture conventionnelle puis convocation à entretien préalable et mise à pied, pendant un arrêt maladie lié au Covid.
• Marché : sollicitation d’un chasseur de têtes pour un poste ouvert en parallèle.
• Objectif : négocier son départ dans son meilleur intérêt, sans contentieux long.

Éviter la voie contentieuse (prud’hommes) — longue et risquée pour la réputation — en amenant l’entreprise à une négociation sans conflit : une stratégie de négociation structurée pour obtenir une sortie indemnisée et protéger l’image du dirigeant.

• Financier : indemnité de 350 000 €.
• Temporalité : dossier réglé en 3 mois (vs >2 ans typiquement en contentieux).
• Psychologique : santé et sérénité retrouvées.
• Image : réputation protégée, facilitant la réemployabilité.

Transformer un licenciement violent en sortie négociée et rapide est possible grâce à une négociation sans conflit pilotée par des experts — avec moins de risques qu’un contentieux prud’homal long et incertain.