L’arrivée d’un nouveau N+1 (CEK) remet en cause le poste de la salariée au profit d’une alter ego (FP) sur le même territoire. La salariée souhaite une négociation de départ qui protège son avenir.

• Profil : 56 ans ; directrice de territoire Ile-de-France (promotion).
• Historique : embauchée en 2018 chez C (filiale du groupe M) ; naissance de N en 2021 par fusion de No et Ce.
• Instabilité : 4 DG et 5 postes en 2,5 ans ; doublons de périmètre.
• Projets : deux grands projets stoppés fin 2020 (pilotés par Hervé avec FP) ; crise sanitaire ralentissant les activités.
• Signal : le N+1 annonce en mai qu’il ne souhaite pas la garder ; entretien prévu le 31 mai.
• Objectif : négocier un départ dans les meilleures conditions.

Définir une stratégie de négociation permettant d’obtenir une rupture amiable — parfois appelée démission conventionnelle — avec indemnités de départ, tout en préservant la réputation, la santé et le rebond de la salariée.

• Financier : indemnité de 470 000 € (>24 mois de salaire) malgré 2 ans d’ancienneté.
• Psychologique : sortie en pleine forme grâce à un accompagnement méthodique.
• Image : réputation préservée, facilitant la réemployabilité.

Face à un nouveau N+1 qui remet en cause le poste, la négociation RH permet d’obtenir une sortie sécurisée et favorable — sans sacrifier la santé ni l’image.