À l’approche de la retraite, le périmètre se réduit après une restructuration. L’objectif est d’obtenir un départ négocié sans attendre une GPEC incertaine.

• Entreprise : Société X, Groupe Y, Distributeur Z.
• Profil : 60 ans ; 14 ans d’ancienneté ; directeur d’usine (transformation de viandes).
• Historique : résultats économiques et sociaux constamment bons.
• Virage : plan de restructuration il y a 12 mois ; perte de chiffre d’affaires non compensée ; site non rentable ; périmètre réduit.
• Signal : le N+1 s’enquiert des intentions à ~2 ans des droits à la retraite ; rendez-vous fin novembre.
• Objectif : négocier un départ au mieux de ses intérêts, sans dévoiler prématurément sa stratégie.

Construire une stratégie de négociation pour obtenir une rupture amiable — souvent appelée démission conventionnelle —, alors que l’employeur pourrait attendre la retraite via la GPEC.

• Financier : indemnité de 520 000 €.
• Psychologique : fin de négociation en pleine forme.
• Image : réputation préservée sur le marché.

Bien structurée, la négociation RH proche de la retraite permet de sécuriser le financier, la santé et la réputation tout en évitant l’attentisme.